mardi 14 novembre 2017
mercredi 11 octobre 2017
En ce mardi 03 octobre 2017 nous avons fêter le bis centenaire de « l’œuvre de Marie » en église de COUTOUVRE dans la LOIRE. En répondant à l’appel de Pierre COLIN ancien Vicaire de COUTOUVRE, Jeanne-Marie CHAVOIN et Marie JOTILLON arrivent à CERDON en automne 1817 ." Nous avons quitté notre pays et nos parents pour commencer la Société de Marie".
vendredi 29 septembre 2017

L’histoire de la Grotte
de Lourdes.
de Lourdes.
Des marcheurs et des promeneurs se posaient la
question de l’histoire de la Grotte de Lourdes érigée au croisement des chemins
de La Grotte et de Ver bord. La F. N. A. C. A. et
l’association Coutouvre Se Souvient ont décidées de fixer une plaque
explicative pour retracer cette histoire afin que chaque promeneur puisse en
prenne connaissance.
Par la même occasion, quelques bénévoles ont restauré la statue de la Vierge, l’autel et la grille d’accès.
Grâce à leur contribution, une partie du patrimoine local : la Grotte sera sauvegardée.
Par la même occasion, quelques bénévoles ont restauré la statue de la Vierge, l’autel et la grille d’accès.
Grâce à leur contribution, une partie du patrimoine local : la Grotte sera sauvegardée.
En 1939, près de 200 coutouvrais étaient mobilisés et 45 faits prisonniers. Le curé Rivoire, ancien combattant 14-18, promis à la vierge d’ériger une grotte de Lourdes si tous les soldats revenaient de la guerre. En 1945, tous étaient revenus.
En 1958, la
grotte s’éleva grâce aux entrepreneurs de la commune aidés par les anciens
prisonniers et leurs familles. Le 5 octobre de cette même année, une procession
emmena la statue de la Vierge du bourg jusqu’à la grotte et une messe célébrée
par le Père Émile Grollier, curé de Mardore, enfant de Coutouvre et aussi
ancien prisonnier.
Jean Gardet ainsi que les derniers prisonniers émirent le vœux qu’une messe soit célébrée à la grotte régulièrement et c’est ainsi que les anciens d’Algérie réalise ce souhait tous les deux ans.
« Notre Dame a fait ses preuves comme gardienne du village et de ses enfants »
jeudi 28 septembre 2017
dimanche 27 août 2017
mardi 15 août 2017
jeudi 3 août 2017
samedi 15 avril 2017
Les Burnichon de Coutouvre ont fondu des cloches dans tout le département de la Loire,des cloches qui sonnent dans toute l’Auvergne, et même jusqu’à Mende en Lozère.
Jusqu’à la limite de la Haute-Loire. Les clochers de St-Genets-Malifaux ou de St-Bonnet-le-Château en témoignent. On trouve aussi des cloches signées Burnichon en Saône-et-Loire,
dans le Brionnais ou le Charolais.
Mais la fonderie de Coutouvre ne parvenait plus à répondre à la demande et Benoît Marie Victor demanda à ses frères Philibert et Claude de prospecter en direction de l’Ouest. Ils allèrent s’installer à Montferrand, où une fonderie Burnichon Frères fonctionna jusqu’en 1900. En sortirent des cloches qui sonnent dans toute l’Auvergne, et même jusqu’à Mende en Lozère.
Benoît Marie Victor rendit l’âme à Coutouvre le 5 novembre 1897, à l’âge de 75 ans. Son épouse Benoîte Desaye l’avait précédé dans la tombe en juin 1881. Il avait fait construire une belle maison, dont le toit évoque la forme d’une cloche,
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Famille Burnichon devant leur maison. |

Il a laissé un monument funéraire daté de 1881 qui attire l’attention des passants : une cloche en béton dépassant le mut de clôture du cimetière, et sous laquelle reposent les corps de trois générations de Burnichon.
vendredi 14 avril 2017
On trouve la trace de deux fonderies Burnichon qui produiront des cloches entre 1845 et 1890 : l’une à Coutouvre (Loire) et l’autre à Montferrand (Puy-de-Dôme).
La plus ancienne est celle de Coutouvre, où travaillaient deux et sans doute trois frères Burnichon, dont l’un Hippolyte est parti créer celle de Montferrand.
Le second, Benoît Marie Victor, travailla avec son
père depuis son plus jeune âge en qualité de fondeur de cloches itinérant.
On
sait qu’en 1845 ils fondirent une première cloche pour l’église de Coutouvre.
Le décès Jean-Claude survint en 1847 et vit la
fin de l’itinérance.
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Maison du fondeur derrière le bâtiment ,la fonderie . |

Deux enfants naquirent de cette union :
Ferdinand en 1856 et Jean en 1858. Ferdinand prit la succession de son père en 1883, et exploita la fonderie de
cloches de Coutouvre jusqu’à la fin du siècle.
Le métier de saintier ou fondeur de métal est très
ancien, mais jusqu’à l’aube du XIXème siècle, il était exercé de manière
itinérante.
En 1860 on dénombrait plus de cent saintiers en France, qui
sillonnaient le pays à la recherche de travail, souvent précédés par leur
réputation.
Ils voyageaient de village en village, accompagnés de leur assistant, et transportaient leur matériel, réduit à une planchette en bois gravée comprenant les lettres, les chiffres et les éléments de décor.
Ils voyageaient de village en village, accompagnés de leur assistant, et transportaient leur matériel, réduit à une planchette en bois gravée comprenant les lettres, les chiffres et les éléments de décor.
En des temps très anciens.
Une tradition orale est née dans la région de Thel, au milieu des sapins du Haut-Beaujolais. Depuis des siècles elle circule dans le Roannais et dans le Beaujolais et rapporte une anecdote dans laquelle il est question des frères Burnichon, d’une affaire de fausse monnaie, de condamnation et de fonderie de cloches.
Deux frères Burnichon vivaient à Thel au Moyen-Age. Ce n’était pas des gens très fréquentables puisqu’en ces temps où tout le monde fréquentait les églises, le curé écrivit à son évêque que les frères Burnichon étaient des « mauvais chrétiens ».
Voici cette anecdote que l’on raconte encore de nos jours.
mercredi 29 mars 2017
Les frères Burnichon auraient payé la boulangère de Thel avec un « louis d’or en cuivre encore chaud ».
Dénoncés par la boulangère et poursuivis par la maréchaussée, ils s’enfuirent à travers champs et jetèrent la « boîte à louis » dans la rivière.
Ils furent rattrapés, appréhendés et jetés en prison.
Ils auraient dû être condamnés à mort, ou, au mieux, finir leur vie aux galères.
Il n’en fut rien : le seigneur (certains disent
le roi) fut séduit par la qualité du travail des contrefacteurs, et prononça le
jugement suivant, qui a traversé les siècles :
« Les frères Burnichon, passés maîtres dans l’art de fondre les
métaux, sont condamnés, pour la gloire de Dieu et le salut du roi de France à
établir une fonderie de cloches.
vendredi 17 mars 2017
La cloche existe depuis la plus haute antiquité, les chrétiens en firent un symbole d’appel et de ralliement messianique.
Ce fut Saint-Paulin, Évêque de Nole en Italie qui introduit l’usage des cloches dans l’église.
Histoire de notre fondeur
Village de Coutouvre a
eu sont fondeur de cloches.
FONDERIE - BURNICHON.
FONDERIE - BURNICHON.
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