mercredi 16 décembre 2015





La mission de Claude Marie Dubuis à Castroville Texas.

La première mission de Claude Marie Dubuis fut celle de Castroville.

 Une nouvelle colonie fondée par l’entrepreneur Henri Texas Castro.

Claude Marie Dubuis avait aussi en charge les villages des environs, Hanis, Vandenburg, Quihi, New Braunfels, et Fredericksburg.

 Dans cette colonie de Castroville, il eut comme confrère le père Mathieu Chazelle, un Forézien de Jeansagnière (Cf. infra), son ancien condisciple à Saint-Irénée, arrivé le 15 juin 1847.

Pour remplacer la cabane dans laquelle ils étaient logés, tous deux construisirent - « sans aucune aide » - une maison en bois.

Le 2 août, ils étaient atteints par le typhus, incapables de se lever et de se porter mutuellement secours. Claude Dubuis survécut mais Mathieu Chazelle mourut le 1er septembre 1847, âgé d’à peine 27 ans.

 Le père Dubuis dressa une grande croix sur la tombe de son ami : « Aucun jour ne passait sans que viennent quelques fidèles prier à genoux pour le repos de son âme 73. »

 L’épisode de la mort de Mathieu Chazelle donne une idée des conditions de vie très dures de ces jeunes hommes. Le climat, très chaud, était éprouvant, les épidémies fréquentes et souvent meurtrières -

 Claude Dubuis, d’une forte constitution, survécut cependant au typhus et, plus tard, au choléra.
 Les distances étaient très grandes. L’insécurité était permanente : Claude Dubuis a souvent eu à se déplacer à cheval à travers les territoires hostiles des Comanches -

Il fut capturé à quatre reprises par des Indiens.
 Les populations des immigrants étaient formées, elles, de beaucoup d’aventuriers et de colons anglais, espagnols, allemands.

 Il fallait apprendre les langues - au moins leurs rudiments - de ces différentes communautés.

 Lorsque Claude Marie Dubuis quitte Castroville pour San Antonio, en 1851, il laissait derrière lui la paroisse Saint-Louis, avec son église et son presbytère, construits en grande partie de ses propres mains.
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Suite de l'épopée de Claude Marie Dubuis aux Texas dans les prochaines pages.


lundi 14 décembre 2015

LOUIS MERCIER POÈTE FOREZIEN EN PATOIS FRANCOPROVENCAL

           Il est né à Coutouvre le 6 Avril 1870 dans la ferme   paternelle du XV siècle  d'une famille de paysans.

                         IL fut rédacteur en chef du journal de Roanne .      (Actuellement le Pays Roannais) ou il était entré à l'age de 27 ans .

          Louis Mercier à écrit plusieurs livres, Romans, et Poésies ,sont premier livre ( l'Enchantée en 1897) . 
Il fut apprécié par des écrivains célèbres de sa génération .(Paul Valéry- Sully Prud'homme- Henri Bordeaux- Francis Jammes-André Gide)
La maison paternelle à Coutouvre


Il décède à Saint-Flour le 27 novembre 1951
Ses funérailles sont célébrées le premier décembre à l’Eglise de Coutouvre.
La messe de funérailles est présidée par Mgr Lavallée, recteur des facultés catholiques de Lyon

   



 Un hommage officiel lui est rendu à Coutouvre à l'occasion de la bénédiction de sa stèle par le cardinal Gerlier, archevêque de Lyon, le dimanche 12 octobre 1952.

vendredi 11 décembre 2015

Écrivain Jean Duperray naît à Coutouvre


Jean Duperray est né à Coutouvre (Loire) le 9 avril 1910. Fils d’un instituteur et d’une couturière, il vécut son enfance et son adolescence dans les vallées industrielles du Gier et de Saint-Etienne. Lecteur acharné, communiste, il découvrit la littérature révolutionnaire avec Proudhon, Barbusse, Romain Roland, etc. Nommé instituteur à La Talaudière, autre milieu ouvrier et surtout mineur, il s’abonne à La Révolution prolétarienne, revue fondée par Pierre Monatte, journal syndicaliste et révolutionnaire. Il participe à tous les combats de la classe ouvrière. Sa rencontre avec la philosophe Simone Weil, de 1933 à 1936 le marque profondément.
Après la guerre, Duperray accomplit un énorme travail. Il écrit dans La Tour de feu, correspond avec Robert Lauzon, Albert Camus, Louis Lecoin. Il écrit cinq romans dont Dora,Providence et Harengs frits au sang.


Bernard Lavilliers qui fut élève de Jean Duperray

samedi 5 décembre 2015

La fanfare de Coutouvre
Le public arrivent.
     
Le groupe gipsy Toma-ça

  1.  

 

                                                                           

Et ça tricotent 
                                                             
                                         




                                                                             



   
                                    

samedi 14 novembre 2015



















Mémoire d'outre-tombe du dernier poilu village de Coutouvre 
  Donne l’occasion de rappeler que le dernier poilu du village, Marius Dubuis est décédé voilà 25 ans.

  Appelé de la classe 1916, Marius Dubuis a été incorporé au camp de la Valbonne près de Lyon, et a suivi l’instruction militaire le 9 avril 1915 sous le matricule  392.

 Le 10 août 1915 il rejoignait le 9e bataillon de la 4e coloniale.
 Pour ce jeune combattant, c’est la campagne de la Somme.

 Il a rallié la 7e compagnie du 5e régiment d’infanterie coloniale le 14 octobre 1916.

 Nommé caporal le 4 juillet 1917, IL a combattu lors de la campagne du chemin des dames, à Verdun.

  En 1918 dans la vallée de la Meuse, en Lorraine. Nommé sous-officier de réserve de l’armée active  le 12 avril 1918, il a été blessé le 23 octobre 1918 à Domrémy-la-Pucelle.

 Marius Dubuis a été cité à l’ordre du régiment n°67 pour action de guerre.

 Reçu la croix de guerre et la médaille militaire. Cinquante-deux de ses compatriotes sont morts   

Nommé Sous-officier de réserve territoriale le 19 aout 1936, il est rappelé le 1er mars 1940 au sein de la 45e compagnie du 172e  régiment d’infanterie.
  Il est définitivement libéré le 19 juillet 1940.

 Se marie en août 1945, avec Blanche 3 fils sont nés de cette union, il décédera le 1e novembre 1990 l’Age de 94 ans.




vendredi 30 octobre 2015


     
   La tombe de la familles de Mgr DUBUIS viens d’être restaurer par des membres de l'association.
                                                                             

Cette sépulture fut la première concession à perpétuité
 Du « Nouveau Cimetière »

Un travail de patience  pour refaire chaque lettres