mercredi 24 février 2016





                    Nécrologie
     Village de Coutouvre se souvient
D’Alfred SILBERMAN et des services rendus à la population pendant la deuxième guerre mondiale.


 Né le 6 décembre 1908, de père roumain  et mère hongroise, dans la région de Bucarest, dans une famille de 7 enfants (1 frère et 5 sœurs)

            Vient en France faire ses études de médecine, diplômé le 14 septembre 1936 à Paris.
  Il devient Assistant puis Chef de laboratoire à l'Hôpital Saint-Louis dans le Service d'hématologie et de transfusion.

Engagé volontaire en septembre 1938 à titre étranger.

            Réfugié  dans la région de Coutouvre en septembre 1940. Vivant à Tesche dans la clandestinité, donnant des soins à la population.

Il fait partie des FFI, bataillon du Charollais, de mai 1943  à septembre 1944, alors incorporé dans la 3 ème DFL, 3  ème brigade,  fait campagne jusqu’en Allemagne, et est démobilisé le 5 août 1945.

Naturalisé français, il ouvre un cabinet à Coutouvre d’abord à la « maison Vitupier »  puis rue de Rats, comme médecin généraliste et de l’Hospice.

Puis, fondateur et premier directeur du centre de Transfusion de l’Hôpital de Roanne fondé  en 1947, il va s’installer dans cette ville rue d’ Alsace-Lorraine comme médecin spécialiste en hématologie
 En 1948 il développe les activités du dit Centre, dont l’Amicale des Donneurs. Médecin des pompiers,
 IL continue d’assurer à Coutouvre un cabinet secondaire à l’hospice jusqu’a l ‘arrivée d’un médecin à Montagny
Marié à Melle Mad. Guy, 1er prix de violon du conservatoire de Paris, père de 5 enfants plus une adoptée.
Il prend sa retraite en 1985.

Chevalier de la Légion d’Honneur, titulaire de la Croix de Guerre 39-45  avec étoile de  bronze, décoré de l’ordre de la Santé Publique.
,
Il se retire à Toulon ou il est décédé, le 20 juin 2012, âgé de 103 ans et demi (6 ème français par  l’âge)



                       
                                                      Nécrologie
           Village de Coutouvre se souvient
  D’Alfred SILBERMAN et des services rendus à la      population pendant la deuxième guerre mondiale.


 Né le 6 décembre 1908, de père roumain  et mère hongroise, dans la région de Bucarest, dans une famille de 7 enfants (1 frère et 5 sœurs)

            Vient en France faire ses études de médecine, diplômé le 14 septembre 1936 à Paris.
  Il devient Assistant puis Chef de laboratoire à l'Hôpital Saint-Louis dans le Service d'hématologie et de transfusion.

Engagé volontaire en septembre 1938 à titre étranger.

            Réfugié  dans la région de Coutouvre en septembre 1940. Vivant à Tesche dans la clandestinité, donnant des soins à la population.

Il fait partie des FFI, bataillon du Charollais, de mai 1943  à septembre 1944, alors incorporé dans la 3 ème DFL, 3  ème brigade,  fait campagne jusqu’en Allemagne, et démobilisé le 5 août 1945.

Naturalisé français, il ouvre un cabinet à Coutouvre d’abord à la « maison Vitupier »  puis rue de Rats, comme médecin généraliste et de l’Hospice.

Puis, fondateur et premier directeur du centre de Transfusion de l’Hôpital de Roanne fondé  en 1947, il va s’installer dans cette ville rue d’ Alsace-Lorraine comme médecin spécialiste en hématologie
 En 1948 il développe les activités du dit Centre, dont l’Amicale des Donneurs. Médecin des pompiers,
 IL continue d’assurer à Coutouvre un cabinet secondaire à l’hospice jusqu’a l ‘arrivée d’un médecin à Montagny
Marié à Melle Mad. Guy, 1er prix de violon du conservatoire de Paris, père de 5 enfants plus une adoptée.
Il prend sa retraite en 1985.

Chevalier de la Légion d’Honneur, titulaire de la Croix de Guerre 39-45  avec étoile de  bronze, décoré de l’ordre de la Santé Publique.
,
Il se retire à Toulon ou il est décédé, le 20 juin 2012, âgé de 103 ans et demi (6 ème français par  l’âge)

samedi 16 janvier 2016









         1852, il a été envoyé en France pour recruter des volontaires pour les missions du Texas. Quatorze étudiants et prêtres ont répondu à son appel.

Quand il revint à Galveston, Claude Marie Dubuis a été nommé vicaire général et a été de nouveau envoyé à San Antonio.



,  Là, il a terminé son travail sur le couvent des Ursulines, ainsi que l'église de la nouvelle Sainte-Marie (aujourd'hui la cathédrale St. Mary ).à San Antonio. 

 Lorsque Odin a été fait archevêque de la Nouvelle-Orléans, Claude Marie Dubuis a été nommé évêque de Galveston.

  Il a été consacré par Odin le 23 Novembre 1862, à Lyon.

 En mai 1863, il est entré dans sa ville épiscopale, où, pendant les dix-sept années suivantes, il a travaillé pour l'Eglise Catholique au Texas.

Durant sont mandat comme Évêque, il à soixante-six Religieuse dans l’état, dont beaucoup était membre (Des sœurs de la Charité du Verbe incarné de Lyon L’Antiquaille)

Claude Marie Dubuis était responsable de la fondation de leur ordre dans les Etats-Unis,  dans les diocèses de Galveston-Houston et San Antonio.





  Dubuis a réussi non seulement à restaurer une église ravagée par la guerre civile,mais de laisser à son successeur une florissante foi catholique.

 Comme évêque, il a dirigé la construction d'hôpitaux, des écoles et des orphelinats. En 1867, le diocèse de Galveston avait cinquante-cinq églises et chapelles.

 Par sa demande le pape Pie X établi un second diocèse dans l'état en 1874, celle de SAN ANTONIO.
    
En 1880 Claude Marie Dubuis souffrait de tels problèmes de santé qu'il a été forcé de retourner en France, et Mgr Nicholas A. Gallagher a pris en charge l'administration du siège de Galveston. 

    



 En cette année le pape Léon XIII l'a désigné archevêque titulaire de Arca, un titre Dubuis a tenu jusqu'à sa mort à Venaison, le 21 mai 1895 France, 
 Il a été enterré dans le cimetière de la commune à Coutouvre.



En visite à Coutouvre en 1949, Mgr Lawrence J. Fritz Simon a visité la tombe et a découvert que le nom de Dubuis sur la pierre était illisible et que son mandat comme évêque du Texas n'a pas été mentionné.

   . En 1951 Fritz Simon fait enlevé le corps pour l’inhumé à l'intérieur de l'église paroissiale et une crypte fut érigé en sa mémoire.





 







     
                                                       Mgr Claude Marie Dubuis fait l'objet d'une véritable vénération au Texas ou il à secouru les pauvres 
Et mis en place un " Système de Santé Dubuis". Aujourd'hui c'est un ensemble de plus de 55 Hôpitaux avec 39000  personnes employés.
     Tous les ans au printemps, village de Coutouvre devient un lieu de pèlerinage  pour nos amis Texans  venant  se recueillir sur la tombe de leurs vénéré évêque Claude Marie Dubuis.
        
                




mercredi 16 décembre 2015






La mission de Claude Marie Dubuis à Castroville Texas.

La première mission de Claude Marie Dubuis fut celle de Castroville.

 Une nouvelle colonie fondée par l’entrepreneur Henri Texas Castro.

Claude Marie Dubuis avait aussi en charge les villages des environs, Hanis, Vandenburg, Quihi, New Braunfels, et Fredericksburg.

 Dans cette colonie de Castroville, il eut comme confrère le père Mathieu Chazelle, un Forézien de Jeansagnière (Cf. infra), son ancien condisciple à Saint-Irénée, arrivé le 15 juin 1847.

Pour remplacer la cabane dans laquelle ils étaient logés, tous deux construisirent - « sans aucune aide » - une maison en bois.

Le 2 août, ils étaient atteints par le typhus, incapables de se lever et de se porter mutuellement secours. Claude Dubuis survécut mais Mathieu Chazelle mourut le 1er septembre 1847, âgé d’à peine 27 ans.

 Le père Dubuis dressa une grande croix sur la tombe de son ami : « Aucun jour ne passait sans que viennent quelques fidèles prier à genoux pour le repos de son âme 73. »

 L’épisode de la mort de Mathieu Chazelle donne une idée des conditions de vie très dures de ces jeunes hommes. Le climat, très chaud, était éprouvant, les épidémies fréquentes et souvent meurtrières -

 Claude Dubuis, d’une forte constitution, survécut cependant au typhus et, plus tard, au choléra.
 Les distances étaient très grandes. L’insécurité était permanente : Claude Dubuis a souvent eu à se déplacer à cheval à travers les territoires hostiles des Comanches -

Il fut capturé à quatre reprises par des Indiens.
 Les populations des immigrants étaient formées, elles, de beaucoup d’aventuriers et de colons anglais, espagnols, allemands.

 Il fallait apprendre les langues - au moins leurs rudiments - de ces différentes communautés.

 Lorsque Claude Marie Dubuis quitte Castroville pour San Antonio, en 1851, il laissait derrière lui la paroisse Saint-Louis, avec son église et son presbytère, construits en grande partie de ses propres mains.
.
Suite de l'épopée de Claude Marie Dubuis aux Texas dans les prochaines pages.


lundi 14 décembre 2015

LOUIS MERCIER POÈTE FOREZIEN EN PATOIS FRANCOPROVENCAL

           Il est né à Coutouvre le 6 Avril 1870 dans la ferme   paternelle du XV siècle  d'une famille de paysans.

                         IL fut rédacteur en chef du journal de Roanne .      (Actuellement le Pays Roannais) ou il était entré à l'age de 27 ans .

          Louis Mercier à écrit plusieurs livres, Romans, et Poésies ,sont premier livre ( l'Enchantée en 1897) . 
Il fut apprécié par des écrivains célèbres de sa génération .(Paul Valéry- Sully Prud'homme- Henri Bordeaux- Francis Jammes-André Gide)
La maison paternelle à Coutouvre


Il décède à Saint-Flour le 27 novembre 1951
Ses funérailles sont célébrées le premier décembre à l’Eglise de Coutouvre.
La messe de funérailles est présidée par Mgr Lavallée, recteur des facultés catholiques de Lyon

   



 Un hommage officiel lui est rendu à Coutouvre à l'occasion de la bénédiction de sa stèle par le cardinal Gerlier, archevêque de Lyon, le dimanche 12 octobre 1952.

vendredi 11 décembre 2015

Écrivain Jean Duperray naît à Coutouvre


Jean Duperray est né à Coutouvre (Loire) le 9 avril 1910. Fils d’un instituteur et d’une couturière, il vécut son enfance et son adolescence dans les vallées industrielles du Gier et de Saint-Etienne. Lecteur acharné, communiste, il découvrit la littérature révolutionnaire avec Proudhon, Barbusse, Romain Roland, etc. Nommé instituteur à La Talaudière, autre milieu ouvrier et surtout mineur, il s’abonne à La Révolution prolétarienne, revue fondée par Pierre Monatte, journal syndicaliste et révolutionnaire. Il participe à tous les combats de la classe ouvrière. Sa rencontre avec la philosophe Simone Weil, de 1933 à 1936 le marque profondément.
Après la guerre, Duperray accomplit un énorme travail. Il écrit dans La Tour de feu, correspond avec Robert Lauzon, Albert Camus, Louis Lecoin. Il écrit cinq romans dont Dora,Providence et Harengs frits au sang.


Bernard Lavilliers qui fut élève de Jean Duperray